COûT DE LA VIE
Dernière section mise à jour : Novembre 2024
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COÛT DE LA VIE
Une nouvelle fois, l URUGUAY apparait comme le pays le plus cher d amerique du sud
Plus de details L www.numbeo.com/cost-of-living/rankings_by_country.jsp?title=2019-mid®ion=005
alors que la qualité de vie n est pas en rapport avec le coût fr.numbeo.com/qualit%C3%A9-de-vie/pays/Uruguay
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La consultation du site suivant va vous donner des informations intéressantes et actualisées:
https://www.combien-coute.net/salaire-moyen/uruguay/www.combien-coute.net/salaire-moyen/uruguay/
POUR SEULEMENT UN VOYAGE EN URUGUAY: de bonnes informations sont sur www.ou-et-quand.net/budget/uruguay/montevideo/
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Un site anglophone mais avec traduction des pages en FR donne de nombreuses informations sur l'Uruguay mais aussi sur les autres pays. Il s agit de NUMBEO
NB : On peut aussi faire des comparaisons entre villes du monde !
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ARTICLE DE l'AFP D'avril 2024
Uruguay: entre prospérité et précarité dans le pays le plus cher d'Amérique latine :
Actualités
Maria Chaquiriand, une Uruguayenne qui vit en Europe depuis 28 ans, est toujours surprise de voir à quel point tout est cher en Uruguay. Il faut dire que le petit pays affiche le coût de la vie le plus élevé d'Amérique latine
"Ce qui me frappe le plus, c'est le prix du shampoing, du déodorant, du dentifrice. Mais aussi des fruits, des pâtes et du café", témoigne auprès de l'AFP cette responsable dans la maintenance industrielle, depuis Valence, en Espagne, où elle vit.
Le petit pays coincé entre le Brésil et l'Argentine est également cher en termes de transport, médicaments ou matériaux de construction, assure la femme de 48 ans, qui revient régulièrement en Uruguay voir sa famille.
Selon les données de Statista, le pays, présenté parfois comme la "Suisse de l'Amérique du Sud", est le plus cher d'Amérique latine.
La base de données collaborative sur les prix dans le monde Numbeo assure qu'il est même plus cher que le Japon ou l'Espagne. A Montevideo, la capitale où vit la moitié de la population, une douzaine d'œufs coute deux fois plus cher qu'à Tokyo et un cappuccino 66% plus qu'à Madrid, selon la même source.
Sur 96 pays, l'Uruguay occupe la sixième place pour le coût du pain. Ainsi, un pain blanc de 500 grammes y coute 2,65 euros, selon Numbeo, contre 1,73 euros en France.
Les économistes évoquent des raisons structurelles à cette situation. "L'Uruguay a une taxe sur la valeur ajoutée (TVA) de 22%, l'une des plus élevées au monde.
Et faute d'accords commerciaux avantageux, il paie des droits de douane allant de 25 à 35%. Si l'on ajoute à cela une taxe consulaire de 5%, un produit importé peut avoir une charge fiscale de 50%", explique à l'AFP Alfonso Capurro, du cabinet de conseil CPA Ferrere.
Et le carburant et les voitures souffrent même de taxes supplémentaires. L'Uruguay a l'essence la plus chère des Amériques et l'une des plus chères au monde, à 76,54 pesos le litre de SP95 (1,84 euro), selon Global Petrol Prices.
- Joindre les deux bouts -
Numbeo, classe le pays au cinquième rang sur une centaine de pays pour le coût d'une Volkswagen Golf 1.4 neuve.
"La moitié du prix d'une voiture est constituée de taxes", résume Javier de Haedo, directeur de l'Observatoire de la conjoncture économique de l'Université catholique d'Uruguay.
Outre la charge fiscale, le gouvernement applique certaines retenues, comme celle de 10% sur le prix du diesel afin de financer les transports en commun.
Il existe aussi des réglementations et mécanismes d'enregistrement qui renchérissent l'importation des fruits et légumes et des produits d'hygiène et de nettoyage.
L'économie uruguayenne a progressé ces dernières années, de même que les salaires, ce qui explique que les services, avec une forte composante salariale, soient devenus plus chers, note en outre M. Capurro, qui souligne également les exportations à "très bons prix" pendant la période 2020-2023 et "les importants investissements étrangers" qui ont contribué à renforcer le peso.
"Il est évident que nous sommes plus chers, même s'il s'agit en réalité d'un +happy problem", car nous voulons être riches et non pauvres", sourit-il.
L'Uruguay, l'un des pays les plus stables de la région, affiche un revenu national brut par habitant de 18.000 dollars, le plus élevé d'Amérique latine, selon le dernier classement disponible de la Banque Mondiale. Le salaire minimum mensuel y est de 580 dollars.
"Ce pays est très cher", se plaint ainsi José Luis Diaz, un Uruguayen de 54 ans qui travaille dans un salon de coiffure à Montevideo. "Les salaires augmentent, mais le panier alimentaire de base augmente beaucoup plus. L'argent ne suffit pas pour vivre ici".
Comme de nombreux Uruguayens, dont 10% vivent sous le seuil de pauvreté selon l'Institut national de la statistique, il surveille ses dépenses. "Je fais attention à ma consommation d'électricité, je sors moins au restaurant, je cherche les bonnes affaires", énumère-t-il auprès de l'AFP.
publié le 26 avril à 09h38, AFP
Actualités
Maria Chaquiriand, une Uruguayenne qui vit en Europe depuis 28 ans, est toujours surprise de voir à quel point tout est cher en Uruguay. Il faut dire que le petit pays affiche le coût de la vie le plus élevé d'Amérique latine
"Ce qui me frappe le plus, c'est le prix du shampoing, du déodorant, du dentifrice. Mais aussi des fruits, des pâtes et du café", témoigne auprès de l'AFP cette responsable dans la maintenance industrielle, depuis Valence, en Espagne, où elle vit.
Le petit pays coincé entre le Brésil et l'Argentine est également cher en termes de transport, médicaments ou matériaux de construction, assure la femme de 48 ans, qui revient régulièrement en Uruguay voir sa famille.
Selon les données de Statista, le pays, présenté parfois comme la "Suisse de l'Amérique du Sud", est le plus cher d'Amérique latine.
La base de données collaborative sur les prix dans le monde Numbeo assure qu'il est même plus cher que le Japon ou l'Espagne. A Montevideo, la capitale où vit la moitié de la population, une douzaine d'œufs coute deux fois plus cher qu'à Tokyo et un cappuccino 66% plus qu'à Madrid, selon la même source.
Sur 96 pays, l'Uruguay occupe la sixième place pour le coût du pain. Ainsi, un pain blanc de 500 grammes y coute 2,65 euros, selon Numbeo, contre 1,73 euros en France.
Les économistes évoquent des raisons structurelles à cette situation. "L'Uruguay a une taxe sur la valeur ajoutée (TVA) de 22%, l'une des plus élevées au monde.
Et faute d'accords commerciaux avantageux, il paie des droits de douane allant de 25 à 35%. Si l'on ajoute à cela une taxe consulaire de 5%, un produit importé peut avoir une charge fiscale de 50%", explique à l'AFP Alfonso Capurro, du cabinet de conseil CPA Ferrere.
Et le carburant et les voitures souffrent même de taxes supplémentaires. L'Uruguay a l'essence la plus chère des Amériques et l'une des plus chères au monde, à 76,54 pesos le litre de SP95 (1,84 euro), selon Global Petrol Prices.
- Joindre les deux bouts -
Numbeo, classe le pays au cinquième rang sur une centaine de pays pour le coût d'une Volkswagen Golf 1.4 neuve.
"La moitié du prix d'une voiture est constituée de taxes", résume Javier de Haedo, directeur de l'Observatoire de la conjoncture économique de l'Université catholique d'Uruguay.
Outre la charge fiscale, le gouvernement applique certaines retenues, comme celle de 10% sur le prix du diesel afin de financer les transports en commun.
Il existe aussi des réglementations et mécanismes d'enregistrement qui renchérissent l'importation des fruits et légumes et des produits d'hygiène et de nettoyage.
L'économie uruguayenne a progressé ces dernières années, de même que les salaires, ce qui explique que les services, avec une forte composante salariale, soient devenus plus chers, note en outre M. Capurro, qui souligne également les exportations à "très bons prix" pendant la période 2020-2023 et "les importants investissements étrangers" qui ont contribué à renforcer le peso.
"Il est évident que nous sommes plus chers, même s'il s'agit en réalité d'un +happy problem", car nous voulons être riches et non pauvres", sourit-il.
L'Uruguay, l'un des pays les plus stables de la région, affiche un revenu national brut par habitant de 18.000 dollars, le plus élevé d'Amérique latine, selon le dernier classement disponible de la Banque Mondiale. Le salaire minimum mensuel y est de 580 dollars.
"Ce pays est très cher", se plaint ainsi José Luis Diaz, un Uruguayen de 54 ans qui travaille dans un salon de coiffure à Montevideo. "Les salaires augmentent, mais le panier alimentaire de base augmente beaucoup plus. L'argent ne suffit pas pour vivre ici".
Comme de nombreux Uruguayens, dont 10% vivent sous le seuil de pauvreté selon l'Institut national de la statistique, il surveille ses dépenses. "Je fais attention à ma consommation d'électricité, je sors moins au restaurant, je cherche les bonnes affaires", énumère-t-il auprès de l'AFP.
publié le 26 avril à 09h38, AFP
Dernière informacións sur le marché immobilier à Montevideo 19/11/2024
selon article EL PAIS
Montevideo se posiciona como la ciudad con el metro cuadrado más caro de la región, según el Relevamiento Inmobiliario de América Latina del Centro de Investigación y Finanzas de la Universidad Torcuato Di Tella y Zonaprop.
Según el estudio, cuyos resultados son del mes de setiembre pero fueron difundidos este martes, Montevideo es la ciudad más cara de América Latina para comprar un inmueble ya que los apartamentos de la ciudad tienen un valor de US$ 3.454 por m2.
El relevamiento anterior fue en marzo de 2024, desde entonces los precios en la capital uruguaya aumentaron un 5% en dólares nominales, con una variación de 4% en dólares reales y del 9,9% en la moneda local, ajustada a la inflación.
El estudio está enfocado en barrios "en los que típicamente habitan jóvenes profesionales" y toman como representativos "la mediana de los anuncios pertenecientes a los barrios considerados que satisfacen ciertos filtros".
En el caso de Montevideo se tomaron los precios de inmuebles de los barrios Buceo, Parque Rodó, Pocitos y Punta Carretas.Los mencionados "filtros" son: los inmuebles que tienen entre 1 y 2 dormitorios (se excluyen los monoambientes), cuyo precio del inmueble es de entre US$ 10.000 y de US$ 300.000, que tienen una superficie de entre 20 y 100 m2 y cuya suma de metros cubiertos y de la mitad de los descubiertos es inferior a 200 m2.
selon article EL PAIS
Montevideo se posiciona como la ciudad con el metro cuadrado más caro de la región, según el Relevamiento Inmobiliario de América Latina del Centro de Investigación y Finanzas de la Universidad Torcuato Di Tella y Zonaprop.
Según el estudio, cuyos resultados son del mes de setiembre pero fueron difundidos este martes, Montevideo es la ciudad más cara de América Latina para comprar un inmueble ya que los apartamentos de la ciudad tienen un valor de US$ 3.454 por m2.
El relevamiento anterior fue en marzo de 2024, desde entonces los precios en la capital uruguaya aumentaron un 5% en dólares nominales, con una variación de 4% en dólares reales y del 9,9% en la moneda local, ajustada a la inflación.
El estudio está enfocado en barrios "en los que típicamente habitan jóvenes profesionales" y toman como representativos "la mediana de los anuncios pertenecientes a los barrios considerados que satisfacen ciertos filtros".
En el caso de Montevideo se tomaron los precios de inmuebles de los barrios Buceo, Parque Rodó, Pocitos y Punta Carretas.Los mencionados "filtros" son: los inmuebles que tienen entre 1 y 2 dormitorios (se excluyen los monoambientes), cuyo precio del inmueble es de entre US$ 10.000 y de US$ 300.000, que tienen una superficie de entre 20 y 100 m2 y cuya suma de metros cubiertos y de la mitad de los descubiertos es inferior a 200 m2.
Informations sur le coût de l'immobilier par le journal EL PAIS (Montevideo) en février 2021 voir ici
Comparaison des prix uruguayens faite par le journal EL PAIS (Montevideo) en avril 2015
voir ici
Comme l'article risque de disparaître, une copie est reproduite ci-dessous.
Le journaliste conclut que pour les achats faits, à San Pablo cela coûte 156 pesos de moins, 369 pesos de moins si les achats sont faits à Madrid , mais que pour Londres le coût est supérieur de 74 pesos.
En Uruguay les achats ont été facturés 891 pesos.
Mais le journaliste ne tient pas compte du pouvoir d'achat alors qu'il donne les équivalences de salaire de base. En Uruguay, il est de
16 000 pesos, 18 300 pesos au Brésil, 21 600 en Espagne et 84 480 pesos en Grande Bretagne.
On peut donc dire qu'avec un pouvoir d'achat CINQ fois supérieur, le britannique achète ses aliments quasiment au même prix que
l'Uruguayen. Ce qui veut donc dire que les mêmes aliments sont en réalité CINQ fois plus chers en Uruguay qu'à Londres.
Bonne lecture.
Comer en Montevideo es más caro que en Madrid o San Pablo
Cuatro familias, que residen respectivamente en Londres, Madrid, San Pablo y en Montevideo, accedieron a un pedido de El País para ir a los principales supermercados y adquirir productos similares, para elaborar la comida de este fin de semana. La idea consistía en comparar los precios de los alimentos, a la luz de la mirada del ciudadano común.
El resultado permitió concluir que en Montevideo la cesta de la compra es más barata que en Londres, pero más cara que en San Pablo y Madrid. Es pertinente aclarar que el salario promedio, en la capital inglesa ($ 84.480), es cinco veces superior al uruguayo.
España.
Sully vive en Madrid, le gusta levantarse temprano y hacer la compra como se dice allí. Ayer, a primera hora, se fue al supermercado Mercadona del barrio de Salamanca. Se propuso preparar para el sábado un menú con los siguientes platos: escalopines (milanesas marinadas) acompañados con tortilla a la francesa y un flan casero de postre, Mientras que para hoy domingo iba a preparar crepes de carne con una guarnición de espinacas con salsa blanca y torrijas, y una ensalada de frutas de postre. Cocinó para tres personas (ella, su marido y una prima italiana que está de visita por estos días en España).
Los ingredientes, similares en todos los ejemplos, fueron: Un kilo de carne para milanesas; un litro de aceite de girasol para freír; una barra (flauta) de pan rústica; una docena de huevos medianos; un kilo de harina, un kilo de azúcar, un litro de leche; 500 gramos de espinaca; un kilo de manzanas, un kilo de bananas, un kilo de naranjas; dos refrescos de dos litros, y una botella de 1,5 lts de agua sin gas.
Gastó en total 18,60 euros, (el euro cerró el viernes en pizarra a $ 27), es decir que pagó el equivalente a 502 pesos uruguayos.
Londres.
A Jonathan Lamb, que vive en Clapham —barrio de Londres habitado mayoritariamente por jóvenes profesionales—, le gusta ir él mismo al supermercado, aunque quien cocina es su mujer, Beatriz. Jonathan fue el viernes a Tesco, una de las cadenas más grandes de Inglaterra, a realizar la misma compra que Sully para que Beatriz cocinara en el fin de semana un menú muy similar. En Tesco, Lamb gastó 25 libras y 35 peniques, que convertidos a pesos uruguayos (la libra se cotizó el viernes a $ 38,088) suman $ 965,52.
San Pablo.
Patricia Brignole nació en Uruguay, pero hace 35 años que vive en San Pablo. No le gusta cocinar, aunque no le molesta hacer las compras. Realizó un surtido en el supermercado de la cadena Pao de Azúcar de su barrio Jardins, con los mismos artículos comprados en Madrid y Londres. Gastó en total 90,50 reales, lo que equivale a $ 787.
Uruguay.Ricardo Muñoz vive en Punta Carretas. Es divorciado y le gusta cocinar los fines de semana para sus hijos que pasan con él. Con la lista, proporcionada por El País, se fue al supermercado. Pagó por todo la suma de $ 891.
Esto es: $ 156 más que en San Pablo, $ 389 más que en Madrid, y $ 74,52 menos que en Londres.
Este fin de semana cuatro familias, en cuatro países diferentes y con ingresos distintos, comerán un menú casi idéntico por el que habrán pagado, precios muy disímiles.
El salario promedio hoy en España ronda los 800 euros ($ 21.600); en Inglaterra se ubica en 2.187 ($ 84.480), en Brasil asciende a 2.100 reales ($ 18.300) y en Uruguay ronda los $ 16.000.
DIEGO FISCHER 12 2015
voir ici
Comme l'article risque de disparaître, une copie est reproduite ci-dessous.
Le journaliste conclut que pour les achats faits, à San Pablo cela coûte 156 pesos de moins, 369 pesos de moins si les achats sont faits à Madrid , mais que pour Londres le coût est supérieur de 74 pesos.
En Uruguay les achats ont été facturés 891 pesos.
Mais le journaliste ne tient pas compte du pouvoir d'achat alors qu'il donne les équivalences de salaire de base. En Uruguay, il est de
16 000 pesos, 18 300 pesos au Brésil, 21 600 en Espagne et 84 480 pesos en Grande Bretagne.
On peut donc dire qu'avec un pouvoir d'achat CINQ fois supérieur, le britannique achète ses aliments quasiment au même prix que
l'Uruguayen. Ce qui veut donc dire que les mêmes aliments sont en réalité CINQ fois plus chers en Uruguay qu'à Londres.
Bonne lecture.
Comer en Montevideo es más caro que en Madrid o San Pablo
Cuatro familias, que residen respectivamente en Londres, Madrid, San Pablo y en Montevideo, accedieron a un pedido de El País para ir a los principales supermercados y adquirir productos similares, para elaborar la comida de este fin de semana. La idea consistía en comparar los precios de los alimentos, a la luz de la mirada del ciudadano común.
El resultado permitió concluir que en Montevideo la cesta de la compra es más barata que en Londres, pero más cara que en San Pablo y Madrid. Es pertinente aclarar que el salario promedio, en la capital inglesa ($ 84.480), es cinco veces superior al uruguayo.
España.
Sully vive en Madrid, le gusta levantarse temprano y hacer la compra como se dice allí. Ayer, a primera hora, se fue al supermercado Mercadona del barrio de Salamanca. Se propuso preparar para el sábado un menú con los siguientes platos: escalopines (milanesas marinadas) acompañados con tortilla a la francesa y un flan casero de postre, Mientras que para hoy domingo iba a preparar crepes de carne con una guarnición de espinacas con salsa blanca y torrijas, y una ensalada de frutas de postre. Cocinó para tres personas (ella, su marido y una prima italiana que está de visita por estos días en España).
Los ingredientes, similares en todos los ejemplos, fueron: Un kilo de carne para milanesas; un litro de aceite de girasol para freír; una barra (flauta) de pan rústica; una docena de huevos medianos; un kilo de harina, un kilo de azúcar, un litro de leche; 500 gramos de espinaca; un kilo de manzanas, un kilo de bananas, un kilo de naranjas; dos refrescos de dos litros, y una botella de 1,5 lts de agua sin gas.
Gastó en total 18,60 euros, (el euro cerró el viernes en pizarra a $ 27), es decir que pagó el equivalente a 502 pesos uruguayos.
Londres.
A Jonathan Lamb, que vive en Clapham —barrio de Londres habitado mayoritariamente por jóvenes profesionales—, le gusta ir él mismo al supermercado, aunque quien cocina es su mujer, Beatriz. Jonathan fue el viernes a Tesco, una de las cadenas más grandes de Inglaterra, a realizar la misma compra que Sully para que Beatriz cocinara en el fin de semana un menú muy similar. En Tesco, Lamb gastó 25 libras y 35 peniques, que convertidos a pesos uruguayos (la libra se cotizó el viernes a $ 38,088) suman $ 965,52.
San Pablo.
Patricia Brignole nació en Uruguay, pero hace 35 años que vive en San Pablo. No le gusta cocinar, aunque no le molesta hacer las compras. Realizó un surtido en el supermercado de la cadena Pao de Azúcar de su barrio Jardins, con los mismos artículos comprados en Madrid y Londres. Gastó en total 90,50 reales, lo que equivale a $ 787.
Uruguay.Ricardo Muñoz vive en Punta Carretas. Es divorciado y le gusta cocinar los fines de semana para sus hijos que pasan con él. Con la lista, proporcionada por El País, se fue al supermercado. Pagó por todo la suma de $ 891.
Esto es: $ 156 más que en San Pablo, $ 389 más que en Madrid, y $ 74,52 menos que en Londres.
Este fin de semana cuatro familias, en cuatro países diferentes y con ingresos distintos, comerán un menú casi idéntico por el que habrán pagado, precios muy disímiles.
El salario promedio hoy en España ronda los 800 euros ($ 21.600); en Inglaterra se ubica en 2.187 ($ 84.480), en Brasil asciende a 2.100 reales ($ 18.300) y en Uruguay ronda los $ 16.000.
DIEGO FISCHER 12 2015
Mise à jour mars 2015
Comparaison en 2015 des prix : Uruguay / Allemagne
Un Uruguayen vivant à Koeln s est amusé à noter les prix d articles alimentaires.
Les résultats sont sans surprise: grosso modo, les prix en Uruguay sont 50% plus chers qu'en Allemagne.
le texte en espagnol ( extrait de http://www.montevideo.com.uy/auc.aspx?265272 )
Article du 18.03.2015 09:04
Ponce de León está viviendo en Colonia, Alemania, y desde allí realizó una corresponsalía con Radio Rural, en la que se contrastaron algunas cifras del costo de la canasta básica en el país europeo y en el nuestro.
Ponce de León explicó que en sus idas al supermercado tenía "la sensación" de que estaba pagando menos por los surtidos, por lo que decidió hacer una comparación producto a producto buscando los precios en un supermercado alemán -que aclaró que no era de descuentos- y en la web de un supermercado similar en Uruguay.
La conclusión, a partir de una canasta de una veintena de productos, es que el precio total en Uruguay era un 53 % más alto que en Alemania, pero veamos el detalle producto a producto, donde solo uno de los ítems tiene una ventaja de precio a favor de nuestro país.
La lista se presenta así: Producto - Precio en Alemania convertido a pesos (al cambio de la semana pasada - Precio en Uruguay
Leche (1 lt) - 25 $ - 28 $
Manteca (200 g) - 31 $ - 45 $
Harina (1 kg) - 9 $ - 45$
Aceite de maíz (1 lt) 28 $ - 48 $
Arroz (1 kg) - 56 $ - 33 $
Carne picada (1 kg, aclaró que en Alemania es de cerdo porque la vacuna no es común) - 122 $ - 150 $
Fideos (500 g) - 36 $ - 42 $
Salsa de tomate (frasco 500 g) - 11 $ - 49 $
Pan (1 flauta) - 17 $ - 35 $
Pan (de molde, 750 g en Alemania vs. 500 g en Uruguay) - 44 $ - 106 $
Huevos (media docena) - 28 $ - 32 $
Café de filtro (500 g) - 109 $ - 133 $
Azúcar (1 kg) - 28 $ - 34 $
Sal (1 kg) - 17 $ - 29 $
Jabón (misma marca) - 33 $ - 37 $
Shampoo (misma marca) - 56 $ - 129 $
Detergente cocina - 28 $ - 46 $
Detergente para baño - 42 $ - 85 $
Pasta de dientes (misma marca, 300 g) - 42 $ - 83 $
Papel higiénico (8 rollos) - 55 $ - 85$
Total de un producto de cada ítem: 819 $ en Alemania y 1254 $ en Uruguay
Para finalizar, Ponce de León comentó que el salario promedio mensual en Alemania es de 3764 euros al mes, mientras que en Uruguay está en el entorno de los 17.000 pesos. El salario mínimo en Alemania ronda los 1.100 euros por mes y en Uruguay 10.000 pesos.
Mise à jour juillet 2014
L'étude 2014 MERCER’S sur le coût de la vie vient d’être publiée
L’Uruguay a reculé dans le classement mondial, Montevideo passant de la 87 ème place à la 114ème du fait de la dévaluation du peso par rapport au dollar US.
Si on compare avec les villes voisines (ou plus lointaines que les expatriés fréquentent) on a les chiffres suivants (attention il s’agit du coût de la vie pour un expatrié payé en devises étrangères et non pas du coût des achats dans les boutiques ce qui fait que Buenos-Aires est considérée comme une ville plus chère que Montevideo)
L'étude 2014 MERCER’S sur le coût de la vie vient d’être publiée
L’Uruguay a reculé dans le classement mondial, Montevideo passant de la 87 ème place à la 114ème du fait de la dévaluation du peso par rapport au dollar US.
Si on compare avec les villes voisines (ou plus lointaines que les expatriés fréquentent) on a les chiffres suivants (attention il s’agit du coût de la vie pour un expatrié payé en devises étrangères et non pas du coût des achats dans les boutiques ce qui fait que Buenos-Aires est considérée comme une ville plus chère que Montevideo)
Immobilier
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Santé
Les coûts hospitaliers sont souvent très chers en Uruguay pour les non-membres d'un système local.
Pour les analyses, les prix pratiqués sont très différents d'un lieu à un autre. L’Hôpital Britannique qui possède une excellente réputation n'hésite pas à pratiquer, pour les non membres, des tarifs qui n'ont rien à voir avec les coûts.
L'avertissement (ci-après) lancé par l'Association d'anciens fonctionnaires de l'ONU ne doit pas être négligé
ATTENTION LOS PRECIOS DEL HOSPITAL BRITANICO
Los precios de los estudios y análisis realizados en el Hospital Británico son, en algunos casos, diez veces superiores a los de otros laboratorios y clínicas de plaza y en muchos otros casos, son dos o tres veces superiores o aún más.
Ante el planteo de AFICS ante la Gerencia del Hospital, la contestación fue que “es el mercado”. En otras palabras, la política de dicho centro es “al que quiere celeste, que le cueste”.
Señor Asociado, haga uso de su libertad y de las opciones que le ofrece la plaza local, previa consulta con su médico tratante.
Montevideo, 19 de marzo de 2015.
Les coûts hospitaliers sont souvent très chers en Uruguay pour les non-membres d'un système local.
Pour les analyses, les prix pratiqués sont très différents d'un lieu à un autre. L’Hôpital Britannique qui possède une excellente réputation n'hésite pas à pratiquer, pour les non membres, des tarifs qui n'ont rien à voir avec les coûts.
L'avertissement (ci-après) lancé par l'Association d'anciens fonctionnaires de l'ONU ne doit pas être négligé
ATTENTION LOS PRECIOS DEL HOSPITAL BRITANICO
Los precios de los estudios y análisis realizados en el Hospital Británico son, en algunos casos, diez veces superiores a los de otros laboratorios y clínicas de plaza y en muchos otros casos, son dos o tres veces superiores o aún más.
Ante el planteo de AFICS ante la Gerencia del Hospital, la contestación fue que “es el mercado”. En otras palabras, la política de dicho centro es “al que quiere celeste, que le cueste”.
Señor Asociado, haga uso de su libertad y de las opciones que le ofrece la plaza local, previa consulta con su médico tratante.
Montevideo, 19 de marzo de 2015.